Saviez-vous que la France est née sous le signe astrologique de la Balance ? Ce signe est celui de la Déesse Vénus-Anaël, et de ce fait, celui de l’amour, l’art, la beauté, la relation. Aahh…

Il est aussi celui de l’Archée Michaël, fêté le 29 septembre, l’Esprit de notre Temps, protecteur de la Sagesse, Chevalier céleste qui met face au karma, et modèle de victoire face au dragon.

Et là, arrêt sur image de notre gentil Français : « De quoi tu causes avec ton karma et ton dragon ? Je croyais qu’on allait parler amour et relation, avec le printemps c’était top ! »

Eh oui, le Français est connu pour, d’une part, ignorer le mal – le sien surtout, car celui des autres ne lui échappe pas autant, il en a besoin pour ses tournois nationaux de critique… encore un mal qu’il ne veut pas voir ! – et d’autre part, pour se (laisser) raconter qu’il est faible. Alors ce n’est pas d’bol : il est allergique aux écailles de dragon ! Mince… Mais ça se soigne !!

En réalité, Anaël s’unit à Michaël dans les Cieux, car il est un grand combattant prêt à tout pour l’Amour ou, nous dirons aussi, pour Elle et sa mission. Les mystères de la Balance révèlent donc à tous que pour atteindre l’amour, il faut se battre : c’est une conquête ! Et ce sont les « esprits-chevaliers » sur terre qui réalisent ces prouesses. Oui, Balance égale amour, mais c’est allié au combat, au courage, car l’amour ne nous tombe pas dessus sans effort !

Un signe de Victoire pour l’esprit-chevalier :
Si tu combats pour l’Amour, tu cesses de faire la guerre à l’autre !
Faire la guerre à son prochain, c’est se battre contre l’Amour.
L’Amour n’a pas d’ennemi, il est victorieux de tout !

Le signe de la Balance, qui définit notre belle France, est aussi celui de l’idéal d’Harmonie. Si nous relevons nos « défis relationnels » en esprits-chevaliers, alors nous sommes sûrs de cheminer vers cet idéal, de pacifier nos relations, de nous ouvrir à l’amour et générer des forces de beauté et de guérison.

En ce sens, le défi majeur actuel est d’être responsable de notre karma et de le transformer ! Et la relation est le terrain propice, car c’est surtout là que nous rencontrons notre karma. Il est de deux sortes : le « karma solaire » et le « karma… à régler » ! Ce dernier peut être « personnifié » par notre ego, doté d’une triple nature de désirs : désir de reconnaissance, désir d’être aimé et désir d’exister. Quand nous entrons en relation, nous utilisons surtout notre outil du sentiment (relié à la parole), or il est directement lié avec notre corps astral, où se trouve cette nature de désirs. Si nous rencontrons l’autre sans effort de conscience, alors nous sommes sur ce terrain sentiment / astral et nous projetons la « substance » de nos trois désirs réunis, porté par le corps astral. Ainsi, en général, quand deux êtres se rencontrent, ce sont plutôt les egos qui se font face ! Et si nul effort n’est fourni pour y remédier ensuite, la relation ne sera pas évolutive : c’est une entente égotique, ni plus ni moins, avec projections de masques mutuels ! Aïe !

Connaître ce principe est important voire salvateur !

En effet, si nous choisissons la responsabilité, alors nous sommes au cœur d’un choix : ce que veut mon ego avec ses désirs, ses attentes, ses revendications infantiles, émotives… ou ce que « Je » veux, en tant qu’Esprit en quête de liberté et d’amour, qui veut évoluer et donner. Rencontrer vraiment l’autre nécessite de traverser en conscience ce combat, debout dans ce choix, qui revient à : « Est-ce que je veux prendre à l’autre ce que mon ego désire, ou est-ce que je veux lui donner qui Je suis, à la mesure de ma conscience ? »

Si l’ego domine, l’esprit n’est pas au rendez-vous, il est recalé en coulisses, et la rencontre est une mascarade. Le Français peut faire bien mieux que cela, et il est grand temps qu’il le fasse !

Pour réussir notre défi relationnel sauce « balance à la Française », souvenons-nous que chacun porte des forces, le « karma solaire », et peut même en développer beaucoup d’autres !

Il est donc majeur de définir ce qui constitue nos forces de bien, nos valeurs véridiques : c’est essentiel pour la confiance en soi. Exemple : je suis doté d’une force de persévérance, une force de douceur, d’humour, de compassion, de résilience, de sérénité, de souplesse, de sincérité, etc. Une fois conscientisées, ces forces vivent dans notre cœur spirituel et constituent un ilot de lumière et de foi/confiance ; c’est une stabilité intérieure que nul ne peut nous ôter ni détruire ! Une protection active, spirituelle, qui permet de se confronter et de rencontrer l’autre avec plus d’ouverture et de créativité. Et chaque effort vers le bien, chaque réussite, vient nourrir cette base, et la confiance s’amplifie toujours plus. C’est un cercle vertueux et solaire !

Nous en avons besoin, car nous savons au fond que l’autre va nous montrer un miroir de nous-même… et surtout des défauts de notre ego, à transformer ! C’est le jeu ! Et sans cette base de confiance en soi, nous allons soit craindre l’autre, nous méfier, soit ne voir que ce qui nous arrange, c’est la lunetterie rose ! Les deux voies sont un désastre pour notre humanité, pour les relations et pour l’évolution vers l’amour !

Soyons forts et dignes de notre belle France ! Mettons la lumière sur nos parts de grandeur : notre expérience et connaissance du vrai, identitaire (désir de reconnaissance diminué), du beau, vertueux (désir d’être aimé diminué), et du manifesté, créatif autonome (désir d’exister diminué). Et même : amplifions nos forces de bien, donnons-leur de la valeur à tous les niveaux de notre être, pour les rayonner et les donner à l’autre ! De cette façon, nous sommes debout face à notre prochain avec un triple plein de « soi », plutôt qu’un triple ego avide ! Et là, y’a d’la joie ! Et nous devenons plus à même d’apprécier la vérité et la beauté de l’autre, à la mesure de notre propre dévoilement conscient. C’est un effet de réciprocité créative. Ainsi, l’amour de l’autre devient possible, car l’esprit de bien prévaut ! C’est la clé.

Et si nous nous prenons en flagrant délit de « projection d’ego », soyons beau joueur : ramenons simplement le bien conscient au centre de notre esprit et de la relation, et c’est reparti ! Ainsi on se renforce, on respecte l’autre, et les liaisons humaines deviennent évolutives !

Dans le défi relationnel, n’hésitons pas à jouer aussi avec notre communication… qui relie ! Si nous nous cachons toujours derrière une interface, nous sommes lâches face au karma à régler, car l’autre n’est jamais face à nous ! Comment évoluer alors ? Ou si nous ne lui laissons jamais la parole, ou si nous réagissons à la moindre remise en question, alors nous rejetons nos défis, en rebelles. Ou encore, nous avons nos tics de langage pour nous blinder : en les détectant, nous voyons quand nous fuyons ci ou ça dans la relation, par exemple. C’est amusant !

En décryptant nos tendances avec la communication, nous pouvons rire un bon coup… de nous-mêmes ! et décider de changer : ceci peut vraiment être un jeu ! L’important étant d’être sincère.

Dans ce cas, ça balance pour de vrai : nous gagnons de belles forces d’équilibre, de victoire et d’espérance au cœur de ce défi relationnel si français… et notre France revit !

Outre tout, si nous tendons vers l’amour et l’harmonie, c’est le moment de choisir le camp des adultes responsables, et cesser de voir l’autre comme « un loup pour soi », comme les médias le rabâchent, mais plutôt comme un ami qui veut… notre bien !! (L’ennemi étant notre ego…)

Si chacun ose changer, s’impliquer, et mettre tout en place de manière ludique et consciente, alors, nous, esprits-chevaliers vivons bien le défi relationnel actuel, et nous ne pouvons que réussir !

C’est l’héroïsme de l’amour : la terre des plus belles conquêtes, où se réunissent dans notre Balance de Français les forces de combat et de transformation… pour l’Amour !

A chacun de jouer, avec souplesse d’esprit, pour fleurir ce printemps de nos victoires d’aimer !

Céline Lassalle

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