L’Hiver

Louanges automnales mon Décembre atteignant

S’immiscent, pour qu’ainsi voici se dansent mes temps.

J’imprime l’Esprit de signes dépouillés,

Splendeur dénudée dont l’œil se nourrit,

Et en jeûnes antérieurs et appliqués se lit

La raison d’une voie vers l’intériorité.

 

Les silences nacrés sont les mousses au venant,

En logis conforté d’être au cœur du plus blanc,

Et par sève en piliers forts d’acquise sagesse,

Tête au sein de la mère l’élixir de sa liesse.

 

Pèlerin solitaire obéit à l’Amour,

Eclairant du dedans l’horizon ordonné,

Que matinées nouvelles sans l’agité voient jour,

Telle gaillarde flotte, par l’Etoile guidée.

L’Hiver requiert ton Eau de Vie contenue…

 

Céline Lassalle

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