Un jour, tu te réveilles au milieu d’un chaos sans nom et tu te dis : « Mais c’est quoi ce cirque de fous dans lequel je me trouve ?!? »
Et puis, tu te décides à arrêter ce cirque justement, tu te saisis et tu te lèves. Et une fois au-dessus de la mêlée, avec toutes ces têtes et ces corps qui sont affalés et applaudissent tous en même temps aux rois de l’arène, ton regard est attiré direct ailleurs, et tu vois écrit sur ta droite en gros, en vert lumineux : « Sortie de secours ». Ah ! Et tu marches jusque-là, tu passes au-dessus des corps qui te collent et te poussent, tu vises, tu continues d’avancer, bien concentré pour ne pas tomber, et puis tu y arrives. Et tu sors.
Une fois sorti, tu respires. Et tu commences à te rendre compte que… grand dieu ! Tu as… la liberté de choisir ta vie ! Bonne nouvelle, par conséquent, car : ta vie t’appartient !
Finalement, elle n’est pas compliquée la morale de cette histoire : si tu te sens prisonnier, pas bien à ta place, en cage, etc., ce n’est pas la faute des autres ! Jamais. C’est juste que tu as la flemme de te lever toi-même…! Et ce, surtout si tous les autres autour ne se bougent pas ! Nan ??
Pour te rassurer, écoute ici l’esprit de l’humour qui débarque exprès pour toi, et qui t’offre ce conseil :
« Il vaut mieux que tu paraisses à la masse, plutôt que tu ne paresses dans la masse ! »
Céline Lassalle