Entre amis, à vous qui n’êtes plus si jeune que l’est un vrai jeune (!), voici quelques, pour simple conseil :
Ne parlez pas à un jeune de votre propre jeunesse, si vous n’avez pas réalisé au moins un grand vœu, très cher à votre cœur, que vous portiez en vous justement… quand vous étiez jeunes !
L’exploit d’un « ainé » qui a pu manifester dans sa vie ce qu’il aimait le plus pendant sa jeunesse (ou un élément-phare), peut nourrir le cœur du jeune, et lui donner envie de déployer ses ailes dans cette vie ! Alors, si tu l’as réalisé, surtout, dis-le lui !
Et si tu ne l’as pas encore fait, alors vas-y, il n’est pas trop tard, qui sait… ?
Donner de l’espérance aux jeunes, par l’expérience concrète et la beauté de la victoire, y’a que ça de vrai !
Céline Lassalle
C’est vrai que se faire entendre la morale de ce qu’il faut faire ou ne pas faire dans la vie, par une personne qui n’a vécu de réussite à l’appui de ses dires, c’est d’un rasant, en plus d’être gonflé ! 🙁
Alors qu’un aîné qui est sorti des sentiers battus ou contrant des points de vues réfractaires au sien, afin d’accomplir quelque chose qu’il aime, même si cela touche qu’à un seul domaine, c’est tout de suite plus réjouissant ! Cela donne davantage envie de l’écouter.
Mais je laisse la place aux points de vue des mâtures !…
🙂